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 flood

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THE HaNi
Invité




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MessageSujet: flood   flood EmptyVen 2 Déc à 18:14

mur =?




flood Evo%20x%20control
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Moustiqu
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyVen 2 Déc à 18:32

Ta mère en short?
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THE HaNi
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyVen 2 Déc à 20:32

ta mere en short = ta mere en string -_-



flood Evo%20x%20control
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Ankaa
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyVen 2 Déc à 21:40

ptdr
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THE HaNi
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyVen 2 Déc à 22:15

bon ont peu joué serieux lol

flood Evo%20x%20control
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tigris
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyVen 2 Déc à 22:16

XPDR
Citation :
mur =?
Citation :
Ta mère en short?
Razz Razz Razz ... Razz

Gentiment, si je resume cela veut dire:

S'il te plait,
Si tu pouvais nous évitez ce genre de flood inutiles.
Nous nous t'en serions très reconnaissant.


lol!
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CartonMa
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyVen 2 Déc à 23:00

Flooder ok mais que ça reste un minimum constructif.
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Ankaa
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyVen 2 Déc à 23:13

je crois que c'est pas pire de la suite des nombre que l'on a fait

(c'est bien nous qui l'avons fait ou c'est dans une autre ally)
je sais plus je crois que j'ai besoin de repos

infirmière 2 cachets svp
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Rosenrot
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptySam 3 Déc à 0:25

Il débute c'est pour ça. Il y a le floodeur débutant et le floodeur confirmé y a le pro aprés mais la faut vraiment être costaud.
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KoKo des
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptySam 3 Déc à 0:25

kler Very Happy
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THE HaNi
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptySam 3 Déc à 18:10

anticyclone = beau temps king

flood Predator
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azgluk
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyMer 14 Déc à 7:56

va pour le flOOd constructif Twisted Evil alors je suppose que vous avez remarquez que[size=]qd on écrit en taille 1 on ne sait absolument rien lire?[/size] génial non? Very Happy
c'est vrai que ça parrais bête mais les petites écrits comme cela peuvent caché plein de belles chose^^, exemple:

bon ce n'est qu'un exemple alors je ne pousserais pas le flOOd à l'extrèmes. quoique une plage de science s'impose:La fusion froide est une réaction de fusion nucléaire réalisée dans des conditions de température et de pression ambiantes, à l'inverse des réactions de fusion nucléaire classiques, mises en jeu par exemple dans les bombes thermonucléaires (bombes H) qui nécessitent une température bien plus élevée. La réalité de ce phénomène qui apparaitrait lors de réactions électrochimiques est très largement controversée : Polémique sur la fusion froide

Aucune production utilisable d'énergie n'est, au moins pour l'instant, possible.


Sommaire
* 1 Historique
* 2 En France
* 3 Rebondissements en avril 2005
* 4 Analyse

[modifier]

Historique

Le 23 mars 1989, la « une » du très sérieux Financial Time déclencha une onde de choc : deux électrochimistes, Stanley Pons et Martin Fleischmann de l'université d'Utah, y déclaraient avoir réussi à obtenir une réaction de fusion nucléaire lors d'une relativement banale expérience d'électrolyse effectuée avec une simple paire d'éléctrodes (dont une de palladium) reliées à une batterie et immergée dans de l'eau lourde…

Lors de cette expérience, ils auraient mesuré un important dégagement de chaleur excédentaire qu'ils interprétaient comme la résultante d'un phénomène de fusion nucléaire contrôlée. Ce type de réaction nucléaire, au cours de laquelle des noyaux atomiques fusionnent en générant une très grande quantité d'énergie, est en quelque sorte le Graal des physiciens qui s'efforcent depuis plus de cinquante ans de contrôler les mécanismes à l'origine du fonctionnement des étoiles, mais également des bombes thermonucléaires. La maîtrise de cette source d'énergie quasi-illimitée libérerait l'humanité des contraintes liées à l'exploitation de ressources énergétiques non renouvelables ou générant des déchets dangereux, comme c'est le cas actuellement pour le nucléaire « classique » reposant sur le principe de la fission des noyaux atomiques.

L'annonce du Financial Time arrivait dans un contexte bien particulier : trois ans auparavant, Tchernobyl avait rappelé à l'ensemble de la planète que l'énergie nucléaire de fission pouvait présenter des dangers considérables et les programmes électro-nucléaires engagés au lendemain du premier choc pétrolier de 1973 commençaient à être de plus en plus critiqués par l'opinion publique des principaux pays industrialisés.

Les travaux sur la fusion thermonucléaire contrôlée marquaient toujours le pas depuis 50 ans malgré les milliards de dollars investis et, après les chocs pétroliers des années 1970 , les consommations énergétiques avaient repris leur progression. Enfin, même si on assistait à l'implosion du Bloc de l'Est, le contexte géopolitique restait incertain avec la montée des fondamentalismes religieux et du nationalisme dans les principaux pays producteurs de pétrole.

Dans ce contexte, la perspective ouverte par Pons et Fleishmann de produire des quantités d'énergie quasi-illimitées à partir de l'eau, semblait merveilleuse.

D'emblée, le débat dépassa donc le cadre feutré des publications scientifiques : l'information fut immédiatement reprise de par le monde par la plupart des quotidiens et chaînes de télévision et présentée comme ce qui pouvait être, à juste titre, une découverte scientifique majeure, mais également la promesse d'un nouvel âge pour l'Humanité.

Cependant, dès la publication de la découverte de cette « fusion froide », de nombreux scientifiques contestèrent, sinon la réalité du dégagement de chaleur décrit par les deux électrochimistes, du moins leurs conclusions concernant une fusion thermonucléaire. Ils rappelèrent qu'il n'est théoriquement pas possible de vaincre par des moyens « électro-chimiques » les forces de nature nucléaire qui font que deux noyaux atomiques se repoussent comme deux aimants dont on rapprocherait les pôles de même signe.

Au terme des théories scientifiques admises depuis plusieurs décennies, deux noyaux atomiques ne peuvent en effet fusionner qu'au prix d'une dépense d'énergie très importante, sans commune mesure avec les énergies associées à une réaction électrochimique comme l'électrolyse décrite par Pons et Fleishmann.

Cependant, alors que la fusion froide semblait n'être qu'un pétard mouillé médiatique, on assista trois jours après la publication du Financial Time à un coup de théâtre : Steven Jones de la Brigham Young University n'observa pas de chaleur mais observa l'émission de neutrons qui pourrait indiquer une réaction nucléaire, confirmant indirectement la validité des travaux de Pons et Fleishmann.

Très rapidement, de nombreux scientifiques, dont quelques Nobel de physique, déclarèrent confirmer également des dégagements inexplicables alors qu'ils tentaient de reproduire l'expérience des deux électrochimistes.

L'Energy Research Advisory Board du département américain pour l'énergie réunit ainsi une commission scientifique afin d'enquêter sur la fusion froide. Celle-ci ne put reproduire la fusion froide en question.

Le débat s'intensifia entre les tenants d'un phénomène encore inexpliqué mais devant faire l'objet de travaux approfondis, et les opposants pour lesquels, dans le meilleur des cas, le dégagement de chaleur était imputable à un mauvais protocole opératoire, et dans la pire hypothèse, à une vaste fumisterie orchestrée par des scientifiques de seconde zone à la recherche de notoriété et de budget.

Pour les gardiens de l'orthodoxie scientifique, la « fusion froide » devait être classée sans autre forme de procès dans la catégorie des « sciences pathologiques », au même titre que la mémoire de l'eau, l'homéopathie et autres mouvements perpétuels…

Sans se positionner sur le terrain de la validation expérimentale des affirmation de Pons et Fleishmann, les détracteurs leur reprochaient en effet d'avoir annoncé leur découverte par le biais de la presse grand public et non pas en premier lieu dans une revue scientifique de prestige international, procédure habituelle en matière de communication scientifique d'importance.

Il est en effet d'usage d'annoncer les résultats de travaux scientifiques en les soumettant en premier lieu à un comité scientifique chargé de vérifier que l'expérience, l'analyse des résultats et les conclusions qui en découlent répondent aux critères de la démarche scientifique.

Les revues scientifiques d'audience internationale, telles que Nature, comportent généralement de tels comités de « référés » et les scientifiques qui espèrent obtenir pour leurs travaux une reconnaissance internationale se soumettent à cette règle si importante pour l'obtention de crédits et la suite de leur carrière professionnelle (c'est le fameux “publish or perish” qui conditionne aujourd'hui, avec la quête des fonds de fonctionnement, une grande partie de la vie quotidienne des chercheurs…).

En insistant sur le fait que Pons et Fleishmann avaient pour ainsi dire « mis la charrue avant les bœufs » en donnant la primeur de leur découverte à la presse grand public, il fut possible à certains détracteurs d'insinuer que les auteurs de la découverte n'avaient pas souhaité se confronter au jugement de scientifiques reconnus et risquer de voir leur prétentions ridiculisées… Cet argument aurait eu quelque consistance si Pons et Fleishmann n'avaient effectivement pas soumis d'article à une revue scientifique à référés. Non seulement ils avaient soumis à Nature un article relatant leur découverte mais le comité de lecture de la prestigieuse publication n'avait pas émis d'objection sur le caractère scientifique de la communication.

Dix ans après les faits, la « précipitation médiatique » dont ont fait preuve les deux scientifiques est encore, citée comme argument définitif démontrant leur « manque de sérieux évident ». II est néanmoins vrai que l'expérience décrite par Pons et Fleishmann souffrait d'un certain nombre de défauts susceptibles de remettre en question la validité de leurs conclusions. En particulier, ils ne précisaient pas s'ils avaient observé la formation de neutrons et d'hélium, normalement présents lors d'une réaction de fusion thermonucléaire (on les qualifie de « cendres » de la réaction de fusion), et les conditions mêmes de mesure des températures lors de l'expérience pouvaient engendrer un certain nombre d'erreurs.

Des équipes américaines, italiennes et japonaises continuent à travailler depuis plus de dix ans sur le sujet et elles estiment avoir obtenu des résultats confirmant qu'un tel phénomène existe (on ne le nomme toutefois plus « fusion froide », mais plus modestement : réactions nucléaires à basse température ou réactions nucléaires chimiquement assistées). Chaque année un congrès sur le sujet est organisé, la dernière édition (la 11ème) ayant eu lieu à Marseille en novembre 2004. Ces équipes revendiquent la réalité du dégagement de chaleur (supérieur de 25 % à 70 % à l'énergie fournie). Certaines affirment avoir mis en évidence la production d'hélium. Toutes soulignent le caractère transitoire et rare du phénomène. Certains physiciens, comme Peter Hagelstein du MIT (Cambridge, USA) en ont même proposé une théorie.

Sur une période de seize ans (1989-2005), pas moins de onze conférences internationales se sont réunies sur le sujet, sans compter une multitude de réunions moins solennelles tenues ici ou là soit sur la fusion froide proprement dite, soit sur le thème plus général des nouvelles énergies. Si elles eurent un faible écho local, la presse scientifique les ignora superbement. La première (ICCF1) se tint à Salt Lake City en mars 1990 et fut suivie de dix autres (de ICCF2 à ICCF11) successivement à Côme (Italie) en juin-juillet 1991, à Nagoya (Japon) en octobre 1992, à Honolulu (Hawaï) en décembre 1993, à Monte-Carlo (France) en avril 1995, à Sapporo (Japon) en octobre 1996, à Vancouver (Canada) en avril 1998, à Lerici (Italie) en mai 2000, à Pékin en mai 2002, à Cambridge (Massachusetts) en août 2003 et à Marseille (France) en novembre 2004.
[modifier]

En France

En France, pays engagé dans une politique énergétique reposant très largement sur l'électronucléaire, le débat fut très vite clos : Jean Teillac, alors haut commissaire du Commissariat à l'énergie atomique (CEA) et personnalité fortement associée au complexe nucléaire militaro-industriel français, refusa d'engager des recherches sur la question.

On engagea cependant un rapide programme d'expériences à la centrale du Bugey, autant pour démontrer qu'en France il n'y avait pas d'interdit sur la fusion froide au CEA, que pour tenter de démontrer l'inanité de recherche en ce domaine. Peu de temps après, Michel Martinot, son directeur de cabinet, expliqua dans les colonnes du Figaro du 9 juin 1993 que rien ne s'opposait à ce que les chercheurs du CEA travaillent sur la question de la fusion froide, pourvu qu'ils le fassent chez eux, le week-end, et sur leurs propres ressources financières.

Fort de cet « encouragement » de leur hiérarchie, quelques scientifiques français, tel Jean-Paul Bibérian à Marseille, s'engagèrent de façon très discrète sur cette voie. D'autres purent bénéficier d'un financement de la part de certaines compagnies pétrolières attentives aux développements d'une possible découverte majeure pour l'humanité.

Si le CEA se désintéressait officiellement de la question et si d'éminents esprits n'hésitaient pas à déclarer que la fusion froide relevait de la « science pathologique » au même titre que la mémoire de l'eau, la France n'était donc pas totalement en dehors de la course à la fusion froide.

Ainsi, Jacques Dufour, du Laboratoire des Sciences Nucléaires du Conservatoire National des Arts et Métiers de Paris, aurait obtenu des résultats suffisamment significatifs pour justifier le financement de ses travaux par Shell.

Dans le même temps, en France, un chercheur indépendant qui signait de l'anagramme de cold andré parvenait lui aussi à produire sporadiquement plus d'énergie qu'il n'en dépensait. Il est mort quelques mois après ces bouteilles à la mer sur Usenet. La page web qu'il avait créée existe toujours et, pour l'anecdote, sa veuve a eu toutes les peines du monde à vendre leur maison à cause de la forte irradiation qui y subsistait après son ultime expérience.

Les « pères fondateurs » Pons et Fleishmann se sont vu offrir par Toyota la possibilité de poursuivre en France leurs travaux dans un laboratoire abrité au sein de l'Institut of Minoru Research Advancement (IMRA) de Sophia Antipolis et ce jusqu'à la retraite de Pons qu'il prit en France en 1999 (Fleischmann l'avait prise deux ans auparavant en Angleterre). Les enjeux industriels étant considérables, très peu d'informations ont filtré de ce laboratoire. Cependant, en 1994, à ICCF4 à Maui, les deux chercheurs annonçaient pouvoir produire vers la fin de l’année jusqu'à 200 kW ...
[modifier]

Rebondissements en avril 2005

Le magazine New Scientist a annoncé dans son édition en ligne le 27 avril 2005 qu'une réaction de fusion froide aurait été obtenue par Seth Putterman, Brian Naranjo et James Gimzewski à l'Université de Californie. En utilisant des cristaux de tantalate de lithium et l'effet pyroélectrique (il faut réchauffer de -33°C à +7°C en quelques minutes ces cristaux plongés dans un bain de gaz de deutérium, afin de produire un champ électrique local), ils auraient réussi à produire un flux, faible mais mesurable, de neutrons.

Les neutrons sont produits en très petite quantité (quelques centaines par seconde), ce qui implique une très faible réaction de fusion - si elle a bien lieu. Cette limitation importante ne permet pas de déterminer où cette observation pourrait mener et si cela inclut une capacité significative à exploiter cette réaction.
[modifier]

Analyse

Les « opposants » à la fusion froide ont longtemps objecté :

* qu'elle ne présentait pas les standards de reproductibilité ;
* que la preuve habituelle relative aux réactions nucléaires manquait (pas de neutrons et de rayons gamma) ;
* que les techniques disponibles pour mesurer la chaleur excédentaire n’étaient pas fiables ;
* que la compréhension théorique n’était pas complète.

Quinze ans après, ces objections sont progressivement refutées à mesure que s'accumulent les communications des laboratoires travaillant sur le sujet relatives à des résultats positifs et reproductibles et des théories explicatives du phénomène.

Les organismes et administrations en charge des stratégies énergétiques des principaux pays modifient progressivement leur perception de la fusion froide. Ainsi, l'US Department of Energie (DoE) a demandé à la mi 2004 à un comité indépendant de 24 scientifiques de lui soumettre un rapport sur la validité scientifique des résultats des expériences relative à la fusion froide menées depuis ces quinze dernières années.
enfin moi je dis ça je dis rien ^^

quel bel exemple n'est'il pas?

/!\ je conseille de tout compier coller si vous n'êtes pas asdepte de ce genre d'écrit. la fonction citer fonctionne à merveille aussi Very Happy
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druduss
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyMer 14 Déc à 8:55

merci pour l'exposé Laughing
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Rosenrot
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyMer 14 Déc à 12:45

Sp4c3 M4n a écrit:
va pour le flOOd constructif Twisted Evil alors je suppose que vous avez remarquez que[size=]qd on écrit en taille 1 on ne sait absolument rien lire?[/size] génial non? Very Happy
c'est vrai que ça parrais bête mais les petites écrits comme cela peuvent caché plein de belles chose^^, exemple:

bon ce n'est qu'un exemple alors je ne pousserais pas le flOOd à l'extrèmes. quoique une plage de science s'impose:La fusion froide est une réaction de fusion nucléaire réalisée dans des conditions de température et de pression ambiantes, à l'inverse des réactions de fusion nucléaire classiques, mises en jeu par exemple dans les bombes thermonucléaires (bombes H) qui nécessitent une température bien plus élevée. La réalité de ce phénomène qui apparaitrait lors de réactions électrochimiques est très largement controversée : Polémique sur la fusion froide

Aucune production utilisable d'énergie n'est, au moins pour l'instant, possible.


Sommaire
* 1 Historique
* 2 En France
* 3 Rebondissements en avril 2005
* 4 Analyse

[modifier]

Historique

Le 23 mars 1989, la « une » du très sérieux Financial Time déclencha une onde de choc : deux électrochimistes, Stanley Pons et Martin Fleischmann de l'université d'Utah, y déclaraient avoir réussi à obtenir une réaction de fusion nucléaire lors d'une relativement banale expérience d'électrolyse effectuée avec une simple paire d'éléctrodes (dont une de palladium) reliées à une batterie et immergée dans de l'eau lourde…

Lors de cette expérience, ils auraient mesuré un important dégagement de chaleur excédentaire qu'ils interprétaient comme la résultante d'un phénomène de fusion nucléaire contrôlée. Ce type de réaction nucléaire, au cours de laquelle des noyaux atomiques fusionnent en générant une très grande quantité d'énergie, est en quelque sorte le Graal des physiciens qui s'efforcent depuis plus de cinquante ans de contrôler les mécanismes à l'origine du fonctionnement des étoiles, mais également des bombes thermonucléaires. La maîtrise de cette source d'énergie quasi-illimitée libérerait l'humanité des contraintes liées à l'exploitation de ressources énergétiques non renouvelables ou générant des déchets dangereux, comme c'est le cas actuellement pour le nucléaire « classique » reposant sur le principe de la fission des noyaux atomiques.

L'annonce du Financial Time arrivait dans un contexte bien particulier : trois ans auparavant, Tchernobyl avait rappelé à l'ensemble de la planète que l'énergie nucléaire de fission pouvait présenter des dangers considérables et les programmes électro-nucléaires engagés au lendemain du premier choc pétrolier de 1973 commençaient à être de plus en plus critiqués par l'opinion publique des principaux pays industrialisés.

Les travaux sur la fusion thermonucléaire contrôlée marquaient toujours le pas depuis 50 ans malgré les milliards de dollars investis et, après les chocs pétroliers des années 1970 , les consommations énergétiques avaient repris leur progression. Enfin, même si on assistait à l'implosion du Bloc de l'Est, le contexte géopolitique restait incertain avec la montée des fondamentalismes religieux et du nationalisme dans les principaux pays producteurs de pétrole.

Dans ce contexte, la perspective ouverte par Pons et Fleishmann de produire des quantités d'énergie quasi-illimitées à partir de l'eau, semblait merveilleuse.

D'emblée, le débat dépassa donc le cadre feutré des publications scientifiques : l'information fut immédiatement reprise de par le monde par la plupart des quotidiens et chaînes de télévision et présentée comme ce qui pouvait être, à juste titre, une découverte scientifique majeure, mais également la promesse d'un nouvel âge pour l'Humanité.

Cependant, dès la publication de la découverte de cette « fusion froide », de nombreux scientifiques contestèrent, sinon la réalité du dégagement de chaleur décrit par les deux électrochimistes, du moins leurs conclusions concernant une fusion thermonucléaire. Ils rappelèrent qu'il n'est théoriquement pas possible de vaincre par des moyens « électro-chimiques » les forces de nature nucléaire qui font que deux noyaux atomiques se repoussent comme deux aimants dont on rapprocherait les pôles de même signe.

Au terme des théories scientifiques admises depuis plusieurs décennies, deux noyaux atomiques ne peuvent en effet fusionner qu'au prix d'une dépense d'énergie très importante, sans commune mesure avec les énergies associées à une réaction électrochimique comme l'électrolyse décrite par Pons et Fleishmann.

Cependant, alors que la fusion froide semblait n'être qu'un pétard mouillé médiatique, on assista trois jours après la publication du Financial Time à un coup de théâtre : Steven Jones de la Brigham Young University n'observa pas de chaleur mais observa l'émission de neutrons qui pourrait indiquer une réaction nucléaire, confirmant indirectement la validité des travaux de Pons et Fleishmann.

Très rapidement, de nombreux scientifiques, dont quelques Nobel de physique, déclarèrent confirmer également des dégagements inexplicables alors qu'ils tentaient de reproduire l'expérience des deux électrochimistes.

L'Energy Research Advisory Board du département américain pour l'énergie réunit ainsi une commission scientifique afin d'enquêter sur la fusion froide. Celle-ci ne put reproduire la fusion froide en question.

Le débat s'intensifia entre les tenants d'un phénomène encore inexpliqué mais devant faire l'objet de travaux approfondis, et les opposants pour lesquels, dans le meilleur des cas, le dégagement de chaleur était imputable à un mauvais protocole opératoire, et dans la pire hypothèse, à une vaste fumisterie orchestrée par des scientifiques de seconde zone à la recherche de notoriété et de budget.

Pour les gardiens de l'orthodoxie scientifique, la « fusion froide » devait être classée sans autre forme de procès dans la catégorie des « sciences pathologiques », au même titre que la mémoire de l'eau, l'homéopathie et autres mouvements perpétuels…

Sans se positionner sur le terrain de la validation expérimentale des affirmation de Pons et Fleishmann, les détracteurs leur reprochaient en effet d'avoir annoncé leur découverte par le biais de la presse grand public et non pas en premier lieu dans une revue scientifique de prestige international, procédure habituelle en matière de communication scientifique d'importance.

Il est en effet d'usage d'annoncer les résultats de travaux scientifiques en les soumettant en premier lieu à un comité scientifique chargé de vérifier que l'expérience, l'analyse des résultats et les conclusions qui en découlent répondent aux critères de la démarche scientifique.

Les revues scientifiques d'audience internationale, telles que Nature, comportent généralement de tels comités de « référés » et les scientifiques qui espèrent obtenir pour leurs travaux une reconnaissance internationale se soumettent à cette règle si importante pour l'obtention de crédits et la suite de leur carrière professionnelle (c'est le fameux “publish or perish” qui conditionne aujourd'hui, avec la quête des fonds de fonctionnement, une grande partie de la vie quotidienne des chercheurs…).

En insistant sur le fait que Pons et Fleishmann avaient pour ainsi dire « mis la charrue avant les bœufs » en donnant la primeur de leur découverte à la presse grand public, il fut possible à certains détracteurs d'insinuer que les auteurs de la découverte n'avaient pas souhaité se confronter au jugement de scientifiques reconnus et risquer de voir leur prétentions ridiculisées… Cet argument aurait eu quelque consistance si Pons et Fleishmann n'avaient effectivement pas soumis d'article à une revue scientifique à référés. Non seulement ils avaient soumis à Nature un article relatant leur découverte mais le comité de lecture de la prestigieuse publication n'avait pas émis d'objection sur le caractère scientifique de la communication.

Dix ans après les faits, la « précipitation médiatique » dont ont fait preuve les deux scientifiques est encore, citée comme argument définitif démontrant leur « manque de sérieux évident ». II est néanmoins vrai que l'expérience décrite par Pons et Fleishmann souffrait d'un certain nombre de défauts susceptibles de remettre en question la validité de leurs conclusions. En particulier, ils ne précisaient pas s'ils avaient observé la formation de neutrons et d'hélium, normalement présents lors d'une réaction de fusion thermonucléaire (on les qualifie de « cendres » de la réaction de fusion), et les conditions mêmes de mesure des températures lors de l'expérience pouvaient engendrer un certain nombre d'erreurs.

Des équipes américaines, italiennes et japonaises continuent à travailler depuis plus de dix ans sur le sujet et elles estiment avoir obtenu des résultats confirmant qu'un tel phénomène existe (on ne le nomme toutefois plus « fusion froide », mais plus modestement : réactions nucléaires à basse température ou réactions nucléaires chimiquement assistées). Chaque année un congrès sur le sujet est organisé, la dernière édition (la 11ème) ayant eu lieu à Marseille en novembre 2004. Ces équipes revendiquent la réalité du dégagement de chaleur (supérieur de 25 % à 70 % à l'énergie fournie). Certaines affirment avoir mis en évidence la production d'hélium. Toutes soulignent le caractère transitoire et rare du phénomène. Certains physiciens, comme Peter Hagelstein du MIT (Cambridge, USA) en ont même proposé une théorie.

Sur une période de seize ans (1989-2005), pas moins de onze conférences internationales se sont réunies sur le sujet, sans compter une multitude de réunions moins solennelles tenues ici ou là soit sur la fusion froide proprement dite, soit sur le thème plus général des nouvelles énergies. Si elles eurent un faible écho local, la presse scientifique les ignora superbement. La première (ICCF1) se tint à Salt Lake City en mars 1990 et fut suivie de dix autres (de ICCF2 à ICCF11) successivement à Côme (Italie) en juin-juillet 1991, à Nagoya (Japon) en octobre 1992, à Honolulu (Hawaï) en décembre 1993, à Monte-Carlo (France) en avril 1995, à Sapporo (Japon) en octobre 1996, à Vancouver (Canada) en avril 1998, à Lerici (Italie) en mai 2000, à Pékin en mai 2002, à Cambridge (Massachusetts) en août 2003 et à Marseille (France) en novembre 2004.
[modifier]

En France

En France, pays engagé dans une politique énergétique reposant très largement sur l'électronucléaire, le débat fut très vite clos : Jean Teillac, alors haut commissaire du Commissariat à l'énergie atomique (CEA) et personnalité fortement associée au complexe nucléaire militaro-industriel français, refusa d'engager des recherches sur la question.

On engagea cependant un rapide programme d'expériences à la centrale du Bugey, autant pour démontrer qu'en France il n'y avait pas d'interdit sur la fusion froide au CEA, que pour tenter de démontrer l'inanité de recherche en ce domaine. Peu de temps après, Michel Martinot, son directeur de cabinet, expliqua dans les colonnes du Figaro du 9 juin 1993 que rien ne s'opposait à ce que les chercheurs du CEA travaillent sur la question de la fusion froide, pourvu qu'ils le fassent chez eux, le week-end, et sur leurs propres ressources financières.

Fort de cet « encouragement » de leur hiérarchie, quelques scientifiques français, tel Jean-Paul Bibérian à Marseille, s'engagèrent de façon très discrète sur cette voie. D'autres purent bénéficier d'un financement de la part de certaines compagnies pétrolières attentives aux développements d'une possible découverte majeure pour l'humanité.

Si le CEA se désintéressait officiellement de la question et si d'éminents esprits n'hésitaient pas à déclarer que la fusion froide relevait de la « science pathologique » au même titre que la mémoire de l'eau, la France n'était donc pas totalement en dehors de la course à la fusion froide.

Ainsi, Jacques Dufour, du Laboratoire des Sciences Nucléaires du Conservatoire National des Arts et Métiers de Paris, aurait obtenu des résultats suffisamment significatifs pour justifier le financement de ses travaux par Shell.

Dans le même temps, en France, un chercheur indépendant qui signait de l'anagramme de cold andré parvenait lui aussi à produire sporadiquement plus d'énergie qu'il n'en dépensait. Il est mort quelques mois après ces bouteilles à la mer sur Usenet. La page web qu'il avait créée existe toujours et, pour l'anecdote, sa veuve a eu toutes les peines du monde à vendre leur maison à cause de la forte irradiation qui y subsistait après son ultime expérience.

Les « pères fondateurs » Pons et Fleishmann se sont vu offrir par Toyota la possibilité de poursuivre en France leurs travaux dans un laboratoire abrité au sein de l'Institut of Minoru Research Advancement (IMRA) de Sophia Antipolis et ce jusqu'à la retraite de Pons qu'il prit en France en 1999 (Fleischmann l'avait prise deux ans auparavant en Angleterre). Les enjeux industriels étant considérables, très peu d'informations ont filtré de ce laboratoire. Cependant, en 1994, à ICCF4 à Maui, les deux chercheurs annonçaient pouvoir produire vers la fin de l’année jusqu'à 200 kW ...
[modifier]

Rebondissements en avril 2005

Le magazine New Scientist a annoncé dans son édition en ligne le 27 avril 2005 qu'une réaction de fusion froide aurait été obtenue par Seth Putterman, Brian Naranjo et James Gimzewski à l'Université de Californie. En utilisant des cristaux de tantalate de lithium et l'effet pyroélectrique (il faut réchauffer de -33°C à +7°C en quelques minutes ces cristaux plongés dans un bain de gaz de deutérium, afin de produire un champ électrique local), ils auraient réussi à produire un flux, faible mais mesurable, de neutrons.

Les neutrons sont produits en très petite quantité (quelques centaines par seconde), ce qui implique une très faible réaction de fusion - si elle a bien lieu. Cette limitation importante ne permet pas de déterminer où cette observation pourrait mener et si cela inclut une capacité significative à exploiter cette réaction.
[modifier]

Analyse

Les « opposants » à la fusion froide ont longtemps objecté :

* qu'elle ne présentait pas les standards de reproductibilité ;
* que la preuve habituelle relative aux réactions nucléaires manquait (pas de neutrons et de rayons gamma) ;
* que les techniques disponibles pour mesurer la chaleur excédentaire n’étaient pas fiables ;
* que la compréhension théorique n’était pas complète.

Quinze ans après, ces objections sont progressivement refutées à mesure que s'accumulent les communications des laboratoires travaillant sur le sujet relatives à des résultats positifs et reproductibles et des théories explicatives du phénomène.

Les organismes et administrations en charge des stratégies énergétiques des principaux pays modifient progressivement leur perception de la fusion froide. Ainsi, l'US Department of Energie (DoE) a demandé à la mi 2004 à un comité indépendant de 24 scientifiques de lui soumettre un rapport sur la validité scientifique des résultats des expériences relative à la fusion froide menées depuis ces quinze dernières années.
enfin moi je dis ça je dis rien ^^

quel bel exemple n'est'il pas?

/!\ je conseille de tout compier coller si vous n'êtes pas asdepte de ce genre d'écrit. la fonction citer fonctionne à merveille aussi Very Happy


Laughing
C'est beau Sad

Tu peux écreire en oire aussi c'est jolie ça passe partout sur ce forum. Petite remarque carton man tu n'aurais pas du supprimer nos messages car maintenant ton forum va souffrir
.
:
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CartonMa
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyMer 14 Déc à 15:22

Au royaume des flooders, les modos et admins sont des monstres ^^
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Rosenrot
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyMer 14 Déc à 15:32

CartonMan a écrit:
Au royaume des flooders, les modos et admins sont des monstres ^^

Ben ouais mais les floodeurs gagnent souvent Laughing
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CartonMa
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyMer 14 Déc à 15:35

Pense pas non, en cas d'extrême nécessite, je nésiterais pas à employer l'arme atomique Twisted Evil
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azgluk
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyMer 14 Déc à 16:37

si je peux me permettre^^
Citation :
Un admin ne troll pas, un admin ne flood pas. Non pas par-ce qu'il est parfait en tous points (enfin si trés certainement) mais par-ce que l'admin étant occupé a plusieurs taches a traitement non préemptif fait toujours au plus court, comme là quoi, je fait au plus court. Par-ce que je vous vois mal lire le manuel (non pas le maçon) du parfait admin de forum qui fait tout de même 190 tomes d'une pages a raison de 6 ligne en gros caracteres pour les nons voyants (hé voué on prevoit tout nous les admins).
Pi en plus faut avoir une formation assez longue en tant que modos pour la maitrise (non pas du français) mais du clique qui lock, split ou encore éfface !!!.
a cela s'ajoute ensuite une formation en Modo spé qui conduit a apprendre a patcher son forum qui a 450000 Mods.
Aprés Modo spé on doit faire Admin prépa pour se mettre en confiance et ne pas risqué de casser le forum, et on vois aussi quelques rudiments en SQL (langage de jeunes servant a interpellé les filles).
Ensuite on doit apprendre a Bannir avec parcimonie (j'ai etait recaler a cette épreuve :///).
Enfin voilà comme a chaque fois je fait cours, car si je devais résumer tout les manuel (non toujours pas le maçon) nous n'aurions pas finis.
Et je suppose que comme moi quelque fois il vous arrive de dormir voir même d'éteindre votre machine, et en fait si on faisait la version longue bah forcement il vous faudrait une boite d'allumette pour faire tenir les paupiéres.

Donc pour conclure ce post déja trop long, enfin pas aussi long qu'un article du monde, même s'il est vrai que j'ai connus en mon temps de modos des topics faisant beaucoup de scroll (et oui sur le net on ne compte pas en page, mais en scroll verticale d'écran).
La vitesse, l'adsl, la quantité inimaginable de site a caractér... !!! de sites interressants en tout points de vus nous coupent la chique ou plutôt le clavier, voir les doigts selon les points de vue.
Tien en parlant de doigts connaissez vous le comble d'un menuisier ?
tic tac tic tac
La scie m'as tuée (je sais c'est trés con, mais avec de la vodka et une bande de geek c'est rigolo).
Enfin pour en revneir a ce que je disais un admin ce doit de faire court pour montré qu'il a d'autres occupations, et que donc par ce fait il ne peut a son grand damne être trés present sur le forum (enfin du moins a son nombre de post)
Et oui donc avec les nouvelles technologies et l'internet rapide, 1Mo, 2Mo, 8Mo. Bah la plupart des gens n'ont plus vraiment le temps de lire ce genre post trop long et mal écrit (sans doute que je ne veut pas qu'il soit lu (no pas le biscuit)).
Donc avec l'internet rapide, on passe sur beaucoup de site euh 10 oui c'est déja beaucoup et donc notre intérêt vas et vient (oui comme dans la chanson de Claude, comme quoi des fois une blonde sa répond juste...).
Enfin voilà je ne sais pas si vous avez vraiment suivis mon raisonnement qui est digne d'un tableau de Dali. Mais non je ne suis pas misogine, non je m'insurge contre votre point de vue, je sais trés bien que les sociétés matriarcale existe mais en france la femme doit rester au foyer.....

Euh je ne me suis pas un peu égaré a tout hazard ?

Oui donc un Admin fait court et vas toujours au plus juste, mais jamais il ne flood, ne freepost, ou ne troll de quelques manières que ce soit.
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druduss
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyMer 14 Déc à 17:47

excellent ^^
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Raizol (
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyMer 14 Déc à 20:11

gné?
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feust
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyMer 14 Déc à 22:12

paper(euh carton dsl) ne flood pas?
tu te fou de ma gueule ta vu le nombre de message a son actif fo po deconner non plus
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azgluk
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyJeu 15 Déc à 6:39

un admin ne flOOd pas! il vas droit au but. est ce que je flOOd moi? par exemple Rolling Eyes
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CartonMa
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyJeu 15 Déc à 10:01

En trois mois d'existence d'alliance mon nombre de message n'est pas celui d'un flooder feust.
En général mes messages sont pour répondre à des questions ou pour en poser, il arrive tout de même parfois que je post juste pour sortir une vanne Smile
Au fait, c'est l'invasion des lg.n ici ^^
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Rosenrot
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyJeu 15 Déc à 12:31

azgluk a écrit:
un admin ne flOOd pas! il vas droit au but. est ce que je flOOd moi? par exemple Rolling Eyes

Non je confirme tu flood jamais Rolling Eyes
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azgluk
Invité




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MessageSujet: Re: flood   flood EmptyJeu 15 Déc à 13:01

quoique je ne refuse jamais un freepost
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MessageSujet: Re: flood   flood Empty

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flood
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